Le blog, une thérapie?
J'ai créé ce blog, il y a plusieurs semaines sans trop savoir où j'allais. Par curiosité, par besoin de m'exprimer, par amour de l'écriture, par besoin de contact, par un je ne sais quoi qui, impérieusement, me guidait.
Aujourd'hui, à ma grande surprise, j'y ai rencontré des êtres d'exception, chacun dans son parcours de vie. Des êtres sincères, merveilleusement humains, généreux, aimant le partage, solidaires, sans jugement, à l'écoute. Je suis bluffée, je ne m'y attendais pas.
Et me voilà, me livrant, m'introspectant, faisant émerger de mon être profond, des ressentis, des sentiments, des émotions qui s'imposent avec force, guident mes doigts et prennent une sorte d'autonomie qui me met en émoi.
Et vous voilà, vous, mes nouveaux amis de la blogosphère, présents, toujours..., reformulant sur mes émotions intimes, sur des refoulements non encore exprimés ou insuffisamment mis en mots. Vous êtes là, présents, me témoignant votre amitié, vos émotions, partageant, soutenant, prolongeant. Vous mettez en lumière des zones d'ombre, décriptez ce que peut-être j'exprime maladroitement . Vous aidez à identifier, vous égratignez, pansez des cicatrices mal refermées. Vous me permettez de mettre en mots, en résonnance des maux que je voulais oublier, que je pensais réparés. Et peu à peu, émergent des souvenirs enfouis, des réminiscences perdues dans les méandres de la vie passée.
Alors, y-a-il de l'indécence, de l'impudeur à se dévoiler ainsi au monde de la blogosphère? Dans cet anonymat pas si anonyme que ça, au fond? Et pourtant, nous ne savons rien les uns des autres ou seulement ce que nous voulons bien en dire. Et si c'était ça l'authenticité, se débarrasser de toutes ces vieilles casseroles de la vie et se montrer dans une certaine nudité de sentiments à d'autres humains qui ne connaissent de vous que ce que vous leur montrez? Et si c'était ça que je venais chercher là, dans cet endroit, dénué de tous les préjugés qui encombrent ceux qui pensent vous connaître bien et qui, finalement, n'ont perçu de vous qu'une parcelle de vérité.
Si finalement, ce blog s'intégrait dans une chaîne de solidarité, de fraternité humaine qui nous faisait avancer, en sincérité et en congruence, sur le chemin de la vie.
Et si finalement, le blog participait à une sorte de thérapie?
Et vous, qu'en pensez vous?
Je vous embrasse. Malou
Aujourd'hui, à ma grande surprise, j'y ai rencontré des êtres d'exception, chacun dans son parcours de vie. Des êtres sincères, merveilleusement humains, généreux, aimant le partage, solidaires, sans jugement, à l'écoute. Je suis bluffée, je ne m'y attendais pas.
Et me voilà, me livrant, m'introspectant, faisant émerger de mon être profond, des ressentis, des sentiments, des émotions qui s'imposent avec force, guident mes doigts et prennent une sorte d'autonomie qui me met en émoi.
Et vous voilà, vous, mes nouveaux amis de la blogosphère, présents, toujours..., reformulant sur mes émotions intimes, sur des refoulements non encore exprimés ou insuffisamment mis en mots. Vous êtes là, présents, me témoignant votre amitié, vos émotions, partageant, soutenant, prolongeant. Vous mettez en lumière des zones d'ombre, décriptez ce que peut-être j'exprime maladroitement . Vous aidez à identifier, vous égratignez, pansez des cicatrices mal refermées. Vous me permettez de mettre en mots, en résonnance des maux que je voulais oublier, que je pensais réparés. Et peu à peu, émergent des souvenirs enfouis, des réminiscences perdues dans les méandres de la vie passée.
Alors, y-a-il de l'indécence, de l'impudeur à se dévoiler ainsi au monde de la blogosphère? Dans cet anonymat pas si anonyme que ça, au fond? Et pourtant, nous ne savons rien les uns des autres ou seulement ce que nous voulons bien en dire. Et si c'était ça l'authenticité, se débarrasser de toutes ces vieilles casseroles de la vie et se montrer dans une certaine nudité de sentiments à d'autres humains qui ne connaissent de vous que ce que vous leur montrez? Et si c'était ça que je venais chercher là, dans cet endroit, dénué de tous les préjugés qui encombrent ceux qui pensent vous connaître bien et qui, finalement, n'ont perçu de vous qu'une parcelle de vérité.
Si finalement, ce blog s'intégrait dans une chaîne de solidarité, de fraternité humaine qui nous faisait avancer, en sincérité et en congruence, sur le chemin de la vie.
Et si finalement, le blog participait à une sorte de thérapie?
Et vous, qu'en pensez vous?
Je vous embrasse. Malou